Le développement des partenariats est une nécessité lorsqu’on veut affirmer sa présence sur le marché international de la science. LCC s’inscrit dans une perspective volontariste et entend, d’une part, capitaliser les relations nouées à titre personnel par ses membres, en les mettant dans le cadre formel d’un partenariat entre institutions ; et d’autre part développer des nouveaux liens.
Le maillage partenarial devrait connaître une expansion en direction des pays anglophones, aussi bien en Afrique qu’en Occident. De ce point de vue, une ouverture vers les universités du Nigeria est cruciale dans la perspective d’une meilleure compréhension des migrations bantoues. Il est également important d’établir un pont avec les institutions de recherche et/ou d’enseignement lusophones en vue de concevoir des projets sur la genèse des créoles. La situation de Sao Tomé pourrait être fort instructive dans ce domaine. Des conventions existent déjà entre l’université de Libreville et certaines universités d’Afrique Sud. Ce cadre formel devrait servir de point d’appui pour le développement de projets communs. Un membre de LCC qui a étudié et enseigné en Afrique du Sud est chargé de mettre en place un protocole de convention avec un laboratoire de l’université de Stellenbosch pour un projet en phonétique. LCC entreprend des démarches pour établir un partenariat avec Max Plank Institut au vue d’assurer son développent dans les sciences cognitives.
Enfin, la volonté d’ancrer la recherche fondamentale nous a conduits à établir des relations avec des organismes de conservation de la nature.